QU;T CE QUE LE SPIRITISME - ALLAN KARDEC.doc

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1、2INTRODUCTIONALLAN KARDECQUEST-CE QUELE SPIRITSME?INTRODUCTION A LA CONNAISSANCE DU MONDE INVISIBLE PAR LES MANIFESTATIONS DES ESPRITSetcontenant le rsum des principes de la doctrine spiriteet la rponse aux principales objectionsNOUVELLE EDITIONUNION SPIRITE FRANAISE ET FRANCOPHONE1804 - ALLAN KARDE

2、C - 1869Codificateur des enseignements et conseils, de luniversalit des esprits suprieurs, se trouvant dans les livres fondamentaux du Spiritisme.QUEST-CE QUELE SPIRITSME?INTRODUCTIONA LA CONNAISSANCE DU MONDE INVISIBLEPAR LES MANIFESTATIONS DES ESPRITSetcontenant le rsum des principesde la doctrine

3、 spiriteet la rponse aux principales objectionsparALLAN KARDEC*Hors la charit, point de salut.*Natre, mourir, renatre encore et progresser sans cesse, telle est la loi.*Il ny a de foi inbranlable que celle qui peut regarder la raison face face tous les ges de lhumanit.LE SPIRITISME3 REVELATION DE LA

4、 LOI DE DIEUPERFECTIONNEMENT DE LA RELIGION SPIRITUELLE(Lesprit de Vrit annonc par Jsus)Evangile selon St Jean, chap. XIV, 15, 16, 17, 20Son but essentiel estlamlioration des hommesPHILOSOPHIEMORALESCIENCEPREAMBULEPREAMBULE_Les personnes qui nont du spiritisme quune connaissance superficielle, sont

5、naturellement portes faire certaines questions dont une tude complte leur donnerait sans doute la solution; mais le temps, et souvent la volont, leur manquent pour se livrer des observations suivies. On voudrait, avant dentreprendre cette tche, savoir au moins ce dont il sagit, et si cela vaut la pe

6、ine de sen occuper. Il nous a donc paru utile de prsenter, dans un cadre restreint, la rponse quelques-unes des questions fondamentales qui nous sont journellement adresses; ce sera, pour le lecteur, une premire initiation, et, pour nous, du temps gagn par la dispense de rpter constamment la mme cho

7、se.Le premier chapitre contient, sous forme dentretiens, la rponse aux objections les plus ordinaires de la part de ceux qui ignorent les premiers fondements de la doctrine, ainsi que la rfutation des principaux arguments de ses contradicteurs. Cette forme nous a paru la plus convenable, parce quell

8、e na pas laridit de la forme dogmatique.Le second chapitre est consacr lexpos sommaire des parties de la science pratique et exprimentale sur lesquelles, dfaut dune instruction complte, lobservateur novice doit porter son attention pour juger en connaissance de cause; cest en quelque sorte le rsum d

9、u Livre des Mdiums. Les objections naissent le plus souvent des ides fausses que lon se fait, a priori, sur ce que lon ne connat pas; rectifier ces ides, cest aller au devant des objections: tel est le but de ce petit crit.Le troisime chapitre peut tre considr comme le rsum du Livre des Esprits; ces

10、t la solution, par la doctrine spirite, dun certain nombre de problmes du plus haut intrt, de lordre psychologique, moral et philosophique, que lon se pose journellement, et dont aucune philosophie na encore donn de solutions satisfaisantes. Quon essaie de les rsoudre par toute autre thorie et sans

11、la clef quen fournit le spiritisme, et lon verra quelles sont les rponses les plus logiques et qui satisfont le mieux la raison.Cet aperu est non seulement utile pour les novices qui pourront y puiser en peu de temps et peu de frais les notions les plus essentielles, mais il ne lest pas moins pour l

12、es adeptes auxquels il fournit les moyens de rpondre aux premires objections quon ne manque pas de leur faire, et en outre, parce quils y trouveront runis, dans un cadre restreint et sous un mme coup doeil, les principes quils ne doivent jamais perdre de vue.Pour rpondre ds prsent et sommairement la

13、 question formule dans le titre de cet opuscule, nous dirons que:Le Spiritisme est la fois une science dobservation et une doctrine philosophique. Comme science pratique, il consiste dans les relations que lon peut tablir avec les Esprits; comme philosophie, il comprend toutes les consquences morale

14、s qui dcoulent de ces relations.On peut le dfinir ainsi:Le Spiritisme est une science qui traite de la nature, de lorigine et de la destine des Esprits, et de leurs rapports avec le monde corporel.PETITE CONFERENCE SPIRITE143CHAPITRE PREMIERPETITE CONFERENCE SPIRITE_PREMIER ENTRETIEN. - LE CRITIQUE.

15、Le Visiteur. - Je vous dirai, Monsieur, que ma raison se refuse admettre la ralit des phnomnes tranges attribus aux Esprits qui, jen suis persuad, nexistent que dans limagination. Pourtant, devant lvidence, il faudrait bien sincliner, et cest ce que je ferais si je pouvais avoir des preuves incontes

16、tables. Je viens donc solliciter de votre obligeance la permission dassister seulement une ou deux expriences, pour ntre pas indiscret, afin de me convaincre, si cest possible.Allan Kardec. - Ds linstant, Monsieur, que votre raison se refuse admettre ce que nous regardons comme des faits acquis, ces

17、t que vous la croyez suprieure celle de tous les gens qui ne partagent pas vos opinions. Je ne doute pas de votre mrite et nai pas la prtention de mettre mon intelligence au-dessus de la vtre; admettez donc que je me trompe, puisque cest la raison qui vous parle, et que tout soit dit.Le Visiteur. -

18、Pourtant, si vous parveniez me convaincre, moi qui suis connu pour un antagoniste de vos ides, ce serait un miracle minemment favorable votre cause.A. K. - Je le regrette, Monsieur, mais je nai pas le don des miracles. Vous pensez quune ou deux sances suffiront pour vous convaincre? Ce serait, en ef

19、fet, un vritable tour de force; il ma fallu plus dun an de travail pour tre convaincu moi-mme; ce qui vous prouve que, si je le suis, ce na pas t la lgre. Dailleurs, Monsieur, je ne donne point de sances, et il parat que vous vous tes mpris sur le but de nos runions, attendu que nous ne faisons poin

20、t dexpriences en vue de satisfaire la curiosit de qui que ce soit.Le Visiteur. - Vous ne tenez donc pas faire des proslytes?A. K. - Pourquoi donc tiendrais-je faire de vous un proslyte si vous ny tenez pas vous-mme? Je ne force aucune conviction. Quand je rencontre des personnes sincrement dsireuses

21、 de sinstruire et qui me font lhonneur de me demander des claircissements, je me fais un plaisir et un devoir de leur rpondre dans la limite de mes connaissances; mais quant aux antagonistes qui, comme vous, ont des convictions arrtes, je ne fais pas une dmarche pour les en dtourner, attendu que je

22、trouve assez de personnes bien disposes, sans perdre mon temps avec celles qui ne le sont pas. La conviction viendra tt ou tard par la force des choses, et les plus incrdules seront entrans par le torrent; quelques partisans de plus ou de moins ne font rien pour le moment dans la balance; cest pourq

23、uoi vous ne me verrez jamais mchauffer la bile pour amener nos ides ceux qui ont daussi bonnes raisons que vous pour sen loigner.Le Visiteur. - Il y aurait cependant me convaincre plus dintrt que vous ne le croyez. Voulez-vous me permettre de mexpliquer avec franchise et me promettre de ne pas vous

24、offenser de mes paroles? Ce sont mes ides sur la chose et non sur la personne laquelle je madresse; je puis respecter la personne sans partager son opinion.A. K. - Le spiritisme ma appris faire bon march des mesquines susceptibilits damour-propre, et ne pas moffenser pour des mots. Si vos paroles so

25、rtent des bornes de lurbanit et des convenances, jen conclurai que vous tes un homme mal lev: voil tout. Quant moi jaime mieux laisser aux autres les torts que de les partager. Vous voyez, par cela seul, que le spiritisme sert quelque chose.Je vous lai dit, Monsieur, je ne tiens nullement vous faire

26、 partager mon opinion; je respecte la vtre, si elle est sincre, comme je dsire quon respecte la mienne. Puisque vous traitez le spiritisme de rve creux, vous vous tes dit en venant chez moi: Je vais voir un fou. Avouez-le franchement, je ne men formaliserai pas. Tous les spirites sont des fous, cest

27、 chose convenue. Eh bien! Monsieur, puisque vous regardez cela comme une maladie mentale, je me ferai un scrupule de vous la communiquer, et je mtonne quavec une telle pense, vous demandiez acqurir une conviction qui vous rangerait parmi les fous. Si vous tes persuad davance de ne pouvoir tre convai

28、ncu, votre dmarche est inutile, car elle na pour but que la curiosit. Abrgeons donc, je vous prie, car je nai pas de temps perdre en conversations sans objet.Le Visiteur. - On peut se tromper, se faire illusion sans tre fou pour cela.A. K. - Tranchez le mot; dites, comme tant dautres, que cest une t

29、ocade qui naura quun temps; mais vous conviendrez quune tocade qui, en quelques annes, a gagn des millions de partisans dans tous les pays, qui compte des savants de tous ordres, qui se propage de prfrence dans les classes claires, est une singulire manie qui mrite quelque examen.Le Visiteur. - Jai

30、mes ides sur ce sujet, il est vrai; mais elles ne sont pas tellement absolues que je ne consente les sacrifier lvidence. Je vous disais donc, Monsieur, que vous avez un certain intrt me convaincre. Je vous avouerai que je dois publier un livre o je me propose de dmontrer ex professo (sic) ce que je

31、regarde comme une erreur; et comme ce livre doit avoir une grande porte et battre en brche les Esprits, si jarrivais tre convaincu, je ne le publierais pas.A. K. - Je serais dsol, Monsieur, de vous priver du bnfice dun livre qui doit avoir une grande porte; je nai, du reste, aucun intrt vous empcher

32、 de le faire; je lui souhaite, au contraire, une trs grande vogue, attendu que cela nous tiendra lieu de prospectus et dannonces. Quand une chose est attaque, cela veille lattention; il y a beaucoup de gens qui veulent voir le pour et le contre, et la critique la fait connatre de ceux mmes qui ny so

33、ngeaient pas; cest ainsi quon fait souvent de la rclame sans le vouloir au profit de ceux auxquels on veut nuire. La question des Esprits est, dailleurs, si palpitante dintrt; elle pique la curiosit un tel point, quil suffit de la signaler lattention pour donner lenvie de lapprofondirDepuis cet entr

34、etien, crit en 1859, lexprience est venue largement dmontrer la justesse de cette proposition.Le Visiteur. - Alors, selon vous, la critique ne sert rien, lopinion publique ne compte pour rien?A. K. - Je ne regarde pas la critique comme lexpression de lopinion publique, mais comme une opinion individ

35、uelle qui peut se tromper. Lisez lhistoire, et voyez combien de chefs-doeuvre ont t critiqus leur apparition, ce qui ne les a pas empchs de rester des chefs-doeuvre; quand une chose est mauvaise, tous les loges possibles ne la rendront pas bonne. Si le spiritisme est une erreur, il tombera de lui mm

36、e: si cest une vrit, toutes les diatribes nen feront pas un mensonge. Votre livre sera une apprciation personnelle votre point de vue; la vritable opinion publique jugera si vous avez vu juste. Pour cela on voudra voir; et, si plus tard, il est reconnu que vous vous tes tromp, votre livre sera ridic

37、ule comme ceux que lon a publis nagure contre la thorie de la circulation du sang, de la vaccine, etc.Mais joublie que vous devez traiter la question ex professo, ce qui veut dire que vous lavez tudie sous toutes ses faces; que vous avez vu tout ce quon peut voir, lu tout ce qui a t crit sur la mati

38、re, analys et compar les diverses opinions; que vous vous tes trouv dans les meilleures conditions pour observer par vous-mme; que vous y avez consacr vos veilles pendant des annes; en un mot, que vous navez rien nglig pour arriver la constatation de la vrit. Je dois croire quil en est ainsi si vous

39、 tes un homme srieux, car celui qui a fait tout cela a seul le droit de dire quil parle en connaissance de cause.Que penseriez-vous dun homme qui srigerait en censeur dune oeuvre littraire sans connatre la littrature, dun tableau sans avoir tudi la peinture? Il est de logique lmentaire que le critiq

40、ue doit connatre, non pas superficiellement, mais fond, ce dont il parle, sans cela son opinion est sans valeur. Pour combattre un calcul, il faut opposer un autre calcul, mais pour cela il faut savoir calculer. Le critique ne doit pas se borner dire que telle chose est bonne ou mauvaise, il faut qu

41、il justifie son opinion par une dmonstration claire et catgorique, base sur les principes mmes de lart ou de la science. Comment peut-il le faire sil ignore ces principes? Pourriez-vous apprcier les qualits ou les dfauts dune machine si vous ne connaissez pas la mcanique? Non; eh bien! votre jugemen

42、t sur le spiritisme, que vous ne connaissez pas, naurait pas plus de valeur que celui que vous porteriez sur cette machine. Vous seriez chaque instant pris en flagrant dlit dignorance, car ceux qui lauront tudi verront tout de suite que vous tes hors de la question; do lon conclura, ou que vous ntes

43、 pas un homme srieux, ou que vous ntes pas de bonne foi; dans lun et lautre cas, vous vous exposeriez recevoir des dmentis peu flatteurs pour votre amour-propre.Le Visiteur. - Cest prcisment pour viter cet cueil que je suis venu vous prier de me permettre dassister quelques expriences.A. K. - Et vou

44、s pensez que cela vous suffira pour parler du spiritisme ex professo? Mais comment pourriez-vous comprendre ces expriences, plus forte raison les juger, si vous navez pas tudi les principes qui leur servent de base? Comment pourriez-vous apprcier le rsultat, satisfaisant ou non, dessais mtallurgique

45、s, par exemple, si vous ne connaissez pas fond la mtallurgie? Permettez-moi de vous dire, Monsieur, que votre projet est absolument comme si, ne sachant ni les mathmatiques, ni lastronomie, vous alliez dire lun des ces Messieurs de lObservatoire: Monsieur, je veux faire un livre sur lastronomie, et

46、de plus prouver que votre systme est faux; mais comme je nen sais pas le premier mot, laissez-moi regarder une ou deux fois travers vos lunettes; cela me suffira pour en savoir autant que vous.Ce nest que par extension que le mot critiquer est synonyme de censurer; dans son acception propre, et dapr

47、s son tymologie, il signifie juger, apprcier. La critique peut donc tre approbative ou dsapprobatrice. Faire la critique dun livre nest pas ncessairement le condamner; celui qui entreprend cette tche doit le faire sans ides prconues; mais si avant douvrir le livre il la dj condamn dans sa pense, son examen ne peut tre impartial.Tel est le cas de la plupart de ceux qui ont parl du spiritisme. S

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